À l’Hôpital Honoré Mercier de St-Hyacinthe, le 31 juillet 2014 à l’âge de 88 ans, est décédé M. Roger-Édouard Jodoin, époux de feu Alice Voghel, autrefois de St-Charles-sur-Richelieu.
Il laisse dans le deuil ses enfants : Alain (Jocelyne Picard), Carmen (Jean Pinsonneault), Mario, Isabelle (Jean-Guy Champagne), Françoise (Mario Lussier), France (Laurent Lachance), ses huit petits-enfants, ses neuf arrières petits-enfants, ses sœurs : Jeanne D’Arc, Lise, Suzanne et Gisèle, ses neveux, nièces, son ange Josée, ainsi que parents et amis.
La famille Jodoin vous accueillera à la :
RÉSIDENCE FUNÉRAIRE G. JODOIN INC, 25 Beauregard, Ste Madeleine,Qc, J0H 1S0 450 795-3395; télc 450 355-0195, www.residencefunerairejodoin.ca
dimanche le 3 août 2014 de 14h à 17h et de 19h à 22h. Les funérailles auront lieu lundi le 4 août 2014 à 11h00 à l’église de Ste-Madeleine suivi de l’inhumation au cimetière paroissial.
Ouverture des salons lundi dès 9h30.
Des dons à la Fondation de l’Hôpital Honoré Mercier seraient appréciés.
Toutes nos condoléances à votre famille.
À vous famille Roger-Édouard Jodoin, à toi tout particulièrement mon amie Isabelle que j'aime beaucoup, mes plus sincères condoléances. Tout comme nous la famille Rosaire Jodoin, vous venez de perdre votre force, votre arbre. Mes pensées vous accompagnent en ces douloureux moments. Isabelle, de l'Isle-Aux-Coudres, je serai en pensée avec toi.
Nos plus sincère condoléances à toute la famille. Je serai avec vous en pensez et en prière.
À la famille Jodoin
Nous offrons nos plus sincères condoléances pour le décès de votre père.
Nos plus sincères condoleances , Jocelyne et Alain et toute votre famille.
À toi Pascal, Annie ainsi qu'à toute ta famille, nous vous offrons nous plus sincères sympathies.
A la famille Roger-Edouard Jodoin ,à ses sœurs,Jeanne d'Arc,Suzanne,Lise et Gisèle,nous offrons nos sincères condoléances.
A la famille Roger-Edouard Jodoin,à ses sœurs Jeanne d'Arc ,Suzanne,Lise et Gisèle,nous offrons nos sincères condoléances.
Service des soins spirituels – Hôpital Honoré-Mercier – St-Hyacinthe
Le 2 août 2014
Sincères condoléances à la famille de monsieur Roger-Édouard Jodoin. Vous l’avez entouré de votre affection pour qu’il puisse vivre sereinement et à son rythme ce passage mystérieux vers la lumière éternelle. Qu’il repose en paix maintenant après cette longue vie bien remplie. Que l’affection que vous avez les uns pour les autres et que vous recevez de vos proches soit source de réconfort.
Réal Cliche, intervenant en soins spirituels
Hôpital Honoré-Mercier
A la famille Roger-Édouard Jodoin nous offrons nos plus sincères condoléances.
Mes plus sincères condoléances à toute la famille, plus particulièrement à toi, Isabelle. Je sais que cette journée sera longue et chargée d'émotions. Je penserai à toi très fort. Bon courage...
Chère Isabelle,
C'est avec beaucoup de tristesse que je viens d'apprendre le décès de ton père.
Sincères condoléances à toi ainsi qu'à toute ta famille. Dans ces moments-là les mots sont inutiles mais seule l'amitié et l'amour des tiens comptent.
Bon courage,
? Aquinze | le 05 mars 2011 e0 22:52Vous m’attribuez cette pense9e : ab l’usage des mots n’en appelle qu’e0 l’intelligence et e0 la raaiintlote9 objective de leur de9finition. bb Or, je n’ai jamais exprime9 une telle ide9e, j’ai plutf4t montre9 la faussete9 du primat de la musicalite9 sur le concept dans la langue. Une langue, ce n’est pas d’abord une musique, mais bien un ab syste8me bb de production du sens (socialement partage9 comme l’illustre votre exemple : cette diplomate incomprise, qui reste bien seule avec sa poe9sie audible, mais inintelligible pour son public e9tranger).La musique se pratique avec des instruments idoines, la poe9sie advient avec l’invention d’une logique d’association (plus ou moins singulie8re, mais intelligible et traduisible) de mots, une cre9ation de sens qui, certes, transgresse les relations commune9ment admises e0 un moment donne9 de l’histoire de la langue. La musique ne dit jamais rien, elle touche ou non, alors que le poe8te dit bien quelque chose.On ne peut confondre l un et l autre, ni re9duire la poe9sie e0 la musicalite9. Dire cela n’implique aucune hie9rarchie, non pas plus que de distinguer l’œil de la bouche, l’oreille du nez. La musique s’adresse e0 la sensibilite9, la poe9sie e0 l’intelligence sensible, le raisonnement e0 l’intelligence. Mais rien ne m’interdit de de9velopper mes faculte9s dans ces trois ordres de l activite9 humaine successivement ou simultane9ment.Vous vous trompez donc quand vous conside9rez avec tout l’arbitraire possible que je recours e0 ab l’inconscient bb. Je n’ai pas quitte9 un seul instant les rivages de la raison (critique) lorsque j’e9crisa0qu une salive vorace coule e0 sceaux dans les cursives putrides de Wall Street, of9 se pavane proprement la bourgeoisie alle9che9e par l’odeur du sang et de la sueur des femmes, des hommes et des enfants de Chine (et d’ailleurs) exploitables e0 merci.La marchandise n exhale pas l odeur du crime bourgeois contre l humanite9 ni ne ge9mit les cris cance9reux de ses victimes. Alors ab No mercy! Come capitalize on them all! bb Votre incapacite9 e0 saisir la logique dialectique par laquelle s’associent pertinemment ces signifie9s ne vaut pas une preuve d’irraaiintlote9. Vous n’avez pas compris parce que vous ne saisissez pas que le sens advient par ab opposition bb. Vous ne comprenez pas que ce qui importe, c’est justement le changement de sens que ladite opposition inaugure.Vous ne comprenez pas que la salive (figurant la civilisation bourgeoise et son exploitation de l’homme) n’est pas la bave (figurant l’animalite9 et la pre9dation), que l’immode9ration (de l’exploiteur) n’est pas l’abondance oppose9e e0 la frugalite9, mais bien le cercle de la barbarie marchande parce que la voracite9 irrationnelle du capital se fait au de9triment des masses exploite9es, et en dernie8re analyse de la survie de l’humanite9 elle-meame.Vous ne comprenez pas que le fait de couler sous le sceau de la le9galite9 n’est pas la meame chose que le gangste9risme. Vous vous eates laisse9 abuser par vos propres ab associations d’ide9es bb et votre refoulement. Pleuvoir e0 (pleins) seaux et couler e0 sceaux s’associent sans doute par la sonorite9 ab sot bb, mais le0 of9 le premier syntagme signifie l abondance, le second signifie l’institution.Vous perdez votre temps avec votre histoire de bave et de seaux tant et si bien que votre ab Garde des Sceaux bb passe inapere7u. Vous vous contentez d’un petit signe d’e9galite9 pour m’attribuer une fois de plus votre propre re9ductionnisme. Bizarre mutisme et si soudain ! Votre spe9culation achoppe sur sa propre ste9rilite9 parce que vous eates plus occupe9 e0 la diatribe qu’e0 la re9flexion et peut-eatre surtout en raison de votre scotomisation de l’exploitation bourgeoise de l’homme.En re9sume9, vous m’attribuez une ide9e qui n’est pas la mienne, pour me reprocher de n’eatre pas en cohe9rence avec elle, puisque par ma pre9tendue adresse e0 l’inconscient du lecteur je contredis cette ide9e.Or, cette adresse e0 l’inconscient, vous me l’attribuez tout aussi arbitrairement. Et, cette attribution arbitraire de9coule en droite ligne de votre e9chec interpre9tatif ; le sens vous e9chappe, le sens de ce syntagme, of9 je caracte9risais en un aphorisme condense9 la bourgeoisie comme ab quelque chose bb de bien pire que tous les pre9dateurs connus ou tous les monstres sortis tout droit ou en biais de l’imaginaire humain.L’homme du me9rite est un bourgeois pour l’homme, et nullement un loup. Peut-eatre, lorsque vous vous garderez de me chercher ailleurs que dans le texte, vous comprendrez ce qui s y dit. Sait-on jamais ? Je l’ignore ; mais je sais qu’e0 toujours ramener l’inconnu e0 vos certitudes acquises vous ne penserez point et qu en dehors des mare9cages doucereux de l ide9ologie dominante, vous eates perdu.
La famille Jodoin s'est démarquée depuis plus de 55 ans dans la communauté de Ste-Madeleine, St-Damase et Marieville. Son équipe de professionnels s’est engagée à toujours mieux servir la clientèle.